«En finir avec les idées reçues sur la Convention européenne des droits de l’homme», ouvrage publié sous la direction de Mustapha AFROUKH, Table ronde , animée par le Professeur Julien BONNET, 19 mars 2024, Faculté de droit de l'Université de Montpellier
Table ronde autour de l'ouvrage
«En finir avec les idées reçues sur la Convention européenne des droits de l’homme»,
animée par
Julien BONNET, Professeur à la Faculté de droit et de science politique de l'Université de Montpellier (CERCOP) et Président de l'AFDC,
en présence de
Mustapha AFROUKH (direction de l'ouvrage), Maître de conférences, HDR, à la Faculté de droit et de science politique de l'Université de Montpellier (IDEDH)
et d'une partie des contributeurs et notamment
Alexandre VIALA, Professeur à la Faculté de droit et de science politique de l'Université de Montpellier (CERCOP),
Cécile GOUBAULT-LARRECQ, Doctorante contractuelle en droit international à l’Université Paris II Panthéon-Assas (CRDH),
Philomène CALVEZ, Doctorante contractuelle, Faculté de droit et de science politique de Montpellier (IDEDH).
19 Mars 2024 à 16h
Bât.2, Amphi. Albert Vigié
➤ Ouvrage publié chez mare et martin le 4 janvier 2024, 374 pages, sous la direction de Mustapha AFROUKH, avec la préface de Mme Laurence BURGORGUE-LARSEN, Professeur des universités, Droit public, Institut de recherche en droit international et européen de la Sorbonne (IREDIES), Ecole de droit de la Sorbonne, Université Paris I, Panthéon Sorbonne.
➤ Instrumentalisée dans le débat politique et au-delà, la Cour européenne des droits de l’homme, gardienne de la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, fait souvent l’objet de critiques à partir de clichés et de lieux communs.
Elle aurait ainsi, selon ses détracteurs, ouvert les portes de l’application de la Charia en Europe. Elle serait un obstacle à la lutte contre le terrorisme. Elle méconnaîtrait l’identité constitutionnelle des États. Autant d’affirmations qui ne procèdent pas d’une analyse de ses solutions mais de partis pris idéologiques. Sans doute, la meilleure réponse à ces idées reçues est de promouvoir la connaissance et le respect de la Convention et de souligner son apport à la protection des droits fondamentaux. C’est l’objet du présent ouvrage qui revient sur l’ensemble des raccourcis et contre-vérités véhiculés sur la Cour en montrant qu’ils ne correspondent pas à la réalité de sa jurisprudence.
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